L'homme debout .

            

PASSY FACILE QUE DE PEINDRE DEBOUT DANS LE PAYSAGE LES PINCEAUX D'ARGENT DANS LES deux MAINS comme un conquistador du voyage de l’âme.

La douce saveur ocre de l'essence de térébenthine qui exalte l'air d'une puissance mystérieuse. Une douce fragrance qui rappelle la première rencontre avec cette boite magique que la charmante grand mère muse d'une enfance de sept années de complicité et d'affection offrit un jour lumineux de mille promesses.

           Debout sur la berge dans l'observation ténu du prédateur de lumière qui tangue et flotte dans la recherche d'équilibre sur le flux mouvant de ce rapport de masse d'énergie jamais semblable toujours identique. Le regard vif de l'homme debout la nuque jamais baissé vers le sol pour ne pas être corrompu par les forces obscures du sous terrain.

L'élévation du geste sûr, du recul, de l'incision de la brosse dans la chair de toile. Propriétaire d'une oeuvre loyal a l'égard d'une ville qu'il veut reconquérir sur la lumière l'économie et l'équilibre des forces. Je voudrais bien qu'un de ceux qui sont aujourd'hui si durs avec cet artiste me disent ce qu'ils sont eux dans le siècle. Pourtant, vous savez trop que de toute façon, avec ou sans leur assentiment, il faudra bien que se talent soit reconnu et partagé. Il sait assurément que sa voie et bonne et lumineuse. Le Paradis existe je l'ai vu en action sur le bord de la seine aujourd'hui quinze Février deux mille sept.

L’Hédosthène l’harangueur de maux et d’eau d’une terre promise.